1^ère étape : Interrogatoire

1Déroulement de l’accouchement :

Voie Basse

Césarienne
Terme SA

2Nouveau né

Etat de santé :

Commentaire :

3Pathologies gravidiques :

Oui

Non

HTA gravidique +/- prééclampsie => fiche surveillance
Diabète gestationnel => fiche surveillance

4Etat psychologique :

Recherche de facteurs de fragilité
Vécu de l’accouchement et des suites de couches : Troubles de l’humeur? Cliquez ici

5Allaitement maternel :

Oui

Non

Pour une fiche conseil (avantages/méthodes/toxiques) Cliquez ici

6 Sexualité :

Reprise des rapports et difficultés rencontrées
Contraception

7Signes fonctionnels

Douleurs pelviennes, hémorroïdaires, mammaires
Constipation
Incontinence urinaire d’effort et/ou anale

- Examen du post partum. La Revue du praticien. Médecine générale. Tome23 l N° 813 l 22 janvier 2009

- Rééducation du post-partum. Pour qui et comment? La revue du praticien. Médecine générale. Tome 20 l N° 750/751 l 21 novembre 2006

ALPHA-BETABLOQUANTS	Labetalol (TRANDATE©)200mg: un comprimé matin et soir
INHIBITEURS CALCIQUES	Nifédipine LP 20 mg (ADALATE© ): un comprimé matin et soir
EFFET CENTRAL	Alpha méthyl dopa 250mg (ALDOMET©): 2 à 3 comp par jour de posologie progressivement croissante

AVANTAGES LES AVANTAGES Le lait maternel présente de nombreux avantages : Immunitaires : il contient des anticorps qui protège le bébé contre les infections, et diminue son risque d’allergie Alimentaires : c’est un aliment équilibré, qui contient tous les éléments dont votre bébé a besoin, et qui évolue au fil des semaines pour s’adapter à sa croissance. Affectifs : il permet de renforcer la relation mère-enfant. Enfin, il semblerait que les bébés allaités au sein soient moins exposés à l’obésité pendant l’enfance et l’adolescence.
METHODES Avant la tétée Pendant la tétée Tète-t-il suffisamment ? Conserver son lait Choisissez une position confortable, sans appui douloureux ni tension dans les jambes, les bras ou le dos. Voici les positions que vous pouvez adopter : Lors de la mise au sein, la bouche de l’enfant doit être à hauteur et en face du mamelon, grande ouverte, sa langue légèrement sortie en forme de gouttière. Si votre bébé n’ouvre pas la bouche, stimulez-le en chatouillant son menton ou en faisant couler quelques gouttes de lait. Votre bébé tète bien si : Sa bouche est grande ouverte et recouvre une grande partie de l’aréole, ses lèvres sont retroussées, son menton et son nez touchent le sein, sa tête ne doit pas être tournée mais légèrement inclinée en arrière : Vous entendez un son bref de déglutition ressemblant à la consonne « K » Les muscles de la mâchoire du bébé et l’aréole suivent le même mouvement : vous pouvez observer les mouvements de ses tempes et de ses oreilles. Evitez de mettre un doigt sur le sein pour dégager le nez de l’enfant : il n’y a aucun risque d’étouffement, et vous risquez de favoriser la formation de crevasses. Au-delà des 30 premières secondes, la tétée ne doit plus être douloureuse. Si c’est le cas, introduisez délicatement le petit doigt dans la bouche de votre enfant pour interrompre sa succion et corriger sa position. Votre sein doit s’assouplir pendant la tétée, vous ressentez de la soif et de la somnolence, il survient des contractions utérines ou un flux accru de pertes sanguines pendant ou après la tétée, du lait coule du sein opposé. Après la tétée, le mamelon doit être allongé, mais ni pincé ni blessé. A chaque tétée il est recommandé de présenter un sein « jusqu’au bout », puis l’autre que bébé peut prendre un peu, beaucoup ou pas du tout. Pensez à alterner les seins d’une tétée à l’autre ! La tétée est à la demande et est variable d’un enfant à l’autre. Par exemple, à 1 mois, on peut s’attendre à 8 à 12 tétées par jour. Votre bébé tète suffisamment s’il mouille 5 à 8 couches « lourdes » par 24h et s’il fait au moins 1 selle jaunâtre et molle par jour durant le 1er mois. Si vous tirez votre lait, vous pouvez le conserver 4h à température ambiante, 48h au réfrigérateur, et 4 mois au congélateur. Le lait décongelé ne doit jamais être recongelé. Ne pas réchauffer le lait tiré au micro-onde : faites-le tiédir au bain-marie, au chauffe biberon, ou sous le robinet d’eau chaude. Vérifiez sa température en en versant quelques gouttes sur l’intérieur de l’avant-bras.
TOXIQUES/MEDICAMENTS et ALLAITEMENT Alcool Tabac Café Drogues Médicaments L’alcool passe dans le lait maternel, mais il n’y est pas retenu : il repasse progressivement dans la circulation sanguine au fur et à mesure que l’alcoolémie diminue. Par prudence, toute consommation d’alcool est déconseillée durant l’allaitement. Une consommation occasionnelle doit rester modérée (1 à 2 verres). Après une forte consommation, mieux vaut éviter d’allaiter : tirer le lait, puis le jeter. Si une telle consommation est programmée (fête), mieux vaut tirer son lait à l’avance pour le donner ensuite au biberon. Il est préférable de ne pas fumer lorsqu’on allaite. Cependant, le tabagisme ne contre-indique pas l’allaitement ! Essayez de réduire au maximum votre consommation, et si possible, attendez 2 heures après avoir fumé avant de donner le sein, afin de réduire la concentration de nicotine dans le lait. La caféine diffuse dans le lait maternel : évitez de consommer plus de 3 tasses de café par jour. La consommation de drogue, y compris « douces » comme le cannabis, doit être proscrite durant l’allaitement. En dehors du paracétamol, qui peut être utilisé au cours de l’allaitement, consulter votre médecin avant toute prise de nouveau médicament. Pensez à signaler systématiquement aux professionnels de santé que vous allaitez afin qu’ils adaptent leurs prescriptions.

1ère étape : Interrogatoire

1Déroulement de l’accouchement :

2Nouveau né

3Pathologies gravidiques :

4Etat psychologique :

5Allaitement maternel :

6 Sexualité :

7Signes fonctionnels

1^ère étape : Interrogatoire